Pouvez-vous nous présenter Hamada Faucon ?

Hamada est le nom de famille du fondateur « Gozaemon HAMADA ». Il a commencé à élaborer du saké en 1866 à Yonezawa dans la préfecture de Yamagata au Nord du Japon. Entouré de montagnes, avec des étés très chauds et des hivers rigoureux et froids, le riz mûrit ici lentement.


Nous utilisons l’eau souterraine abondante, provenant du Mont Azuma, pour la fabrication de nos sakés. Elle apporte une saveur unique et riche. L’eau de brassage du saké est soumise à des normes plus strictes que l’eau du robinet que nous buvons habituellement. Nous avons la chance d’avoir cette eau de très bonne qualité avec des teneurs très faibles en Fer et Manganèse.

Vous utilisez deux variétés de riz différentes qui nous permet de proposer deux cuvées originales. Pouvez-vous nous les décrire et nous donner leur particularité ?

Depuis 2017, nous utilisons une variété appelée baptisée Yukimegami que nous avons développée. Nous produisons un saké exclusivement avec cette variété qui est idéale pour faire un Daiginjo (lorsqu’il reste 50% du grain après polissage). C’est un riz qui ne se brise pas facilement, même lorsqu’il est très poli. Il est légèrement sucré avec une finale rafraîchissante.


Nous utilisons également le Dewanosato, un riz réservé au saké obtenu par fertilisation croisée de Ginfubuki et Dewasansan. Ce riz brut lui confère de beaux arômes et une fin de bouche nette.
Tous les riz que nous utilisons proviennent exclusivement de notre région.
1,3kg de riz est nécessaire pour produire une bouteille de saké.
Moins de 10 000 bouteilles sont produites pour chacune de ces deux cuvées.